Bien recruter sur un poste de cadre avec l’expertise de l’Association pour l’emploi des cadres (Apec)

Séverine Boivin, Consultante relations entreprises
à l’Apec Provence-Alpes-Côte d’Azur Corse

Dans quels cas un chef d’entreprise peut-il se tourner vers l’Apec ?

« Les recruteurs, les RH, les dirigeants des TPE, PME ou PMI peuvent contacter l’Association pour l’emploi des cadres (Apec) pour : 

  • optimiser leurs recrutements ;
  • gagner en expérience, être informé du marché et des tendances ;
  • développer et enrichir les compétences au sein de l’entreprise.

Nous assurons une mission de conseil auprès des entreprises, et plus particulièrement les TPE-PME et les entreprises jugées à risque dans leur parcours de recrutement, sur les moments clés qui entourent le recrutement, la mobilité ou l’évolution professionnelle de leurs cadres. 

Nous les informons notamment sur le conseil en évolution professionnelle et diffusons auprès d’elles les bonnes pratiques améliorant notamment l’accès au marché du travail, l’égalité professionnelle et salariale entre les femmes et les hommes, la gestion des âges, la promotion de l’emploi des seniors et des personnes handicapées, la lutte contre les discriminations et l’intégration des jeunes diplômés de l’enseignement supérieur.

Avec notre jobboard, apec.fr, nous rendons possible la rencontre entre candidats et recruteurs à travers la diffusion d’environ 90 000 offres d’emploi par jour en 2021 et une profilthèque riche de près de 310 000 profils cadres actualisés. Un recrutement sur 2 fait l’objet d’une offre d’emploi publiée sur apec.fr ».

Comment un(e) consultant(e) relation entreprises de l’Apec accompagne les TPE & PME pour recruter un cadre ?

« Les consultants relations entreprises sont aux côtés des TPE & PME pour sécuriser leurs recrutements.

Pour répondre à cette ambition, un(e) consultant(e) peut aborder tous les sujets qui ont trait à la question du recrutement en partant de l’offre d’emploi, l’image employeur, l’attractivité, leur communication RH sur le web, le sourcing de candidats, le processus de recrutement, l’intégration, la fidélisation, mais aussi la question de la gestion des compétences, du recrutement interne, de l’entretien professionnel. Dans ce cadre, l’Apec apporte des conseils adaptés à chaque entreprise, en fonction de ses enjeux RH et stratégiques. 

Nous animons également des matinales et ateliers RH, en présentiel ou à distance, pour informer les entreprises des sujets RH et améliorer certaines pratiques de recrutement et de la Gestion des Ressources Humaines. 

Des évènements (Salon compétences Cadres, Apec Connect…) sont également organisés pour favoriser la mise en relation des cadres et jeunes diplômés avec les entreprises ». 

Témoignages d’entreprises accompagnées :

  • Faire rédiger son offre d’emploi : « J’ai apprécié la compréhension du besoin de notre entreprise, l’adaptation de l’offre pour la rendre plus attractive, l’expertise sur les techniques de rédaction et les conseils de pratiques du marché qui étaient pertinents ».
  • Réaliser un audit d’attractivité / marque employeur : « Le regard neuf et extérieur permet une remise en question, une prise de recul. Le point positif est l’écoute attentive du consultant face à nos problématiques et la pertinence des solutions apportées ».
  • Travailler sa stratégie de sourcing de candidats : « J’ai apprécié le contact avec notre consultante, elle a bien étudié notre entreprise et su nous dire nos points forts et nos points faibles. Elle a su nous offrir des propositions et solutions efficaces pour améliorer notre démarche de recrutement ».

Pour échanger avec un conseiller de l’Apec, rendez-vous sur Place des Entreprises !

Pour en savoir plus : https://www.apec.fr

Recruter une personne en situation de handicap : une conseillère Cap Emploi vous accompagne

Clémence Faivre, Responsable du Pôle Conseil & Accompagnement des Entreprises au sein de Cap Emploi Lille Métropole Douaisis

Dans quels cas un chef d’entreprise peut-il se tourner vers un conseiller Cap Emploi ?

En tant qu’expert sur le champ du handicap et de l’emploi, nous proposons un accompagnement personnalisé des chefs d’entreprise sur les thématiques suivantes :

  • L’information et le conseil sur l’emploi des personnes en situation de handicap et la sensibilisation des équipes de travail.
  • L’accompagnement pour recruter une personne en situation de handicap, de la définition du besoin jusqu’à la réalisation du projet, ainsi que la mise en œuvre des moyens de compensation permettant la bonne intégration et le suivi en emploi de la personne. 
  • L’accompagnement dans un projet de maintien dans l’emploi (maintien au poste, reclassement, transition professionnelle).

Comment un conseiller Cap Emploi accompagne concrètement les TPE & PME dans le recrutement d’une personne en situation de handicap ? 

Le conseiller Cap Emploi analyse votre besoin de recrutement et identifie les candidats pouvant répondre à ce besoin en termes de compétences, de savoir être, d’aptitudes et d’environnement de travail.

Grâce à nos liens étroits avec les équipes à dominante handicap de notre partenaire Pôle Emploi, les TPE & PME peuvent bénéficier d’un sourcing élargi de candidatures en situation de handicap.

Nous accompagnons également l’employeur pour : 

  • bénéficier d’aides : des aides à l’embauche de droit commun ainsi que des aides spécifiques handicap (Agefiph), prescription d’immersion en amont du contrat de travail ;
  • sécuriser l’intégration et le suivi en emploi de la personne recrutée par le biais d’un aménagement du poste de travail ou de prestations spécifiques  ;
  • sensibiliser les salariés ou les managers au handicap pour favoriser une bonne intégration du nouveau collaborateur. 

Exemple d’une entreprise accompagnée :

La gérante d’une TPE, en métropole lilloise, spécialisée dans la robinetterie industrielle nous a contactés pour l’accompagner dans son projet de recrutement d’une assistante de direction, dans le cadre d’un départ à la retraite. La gérante n’a jamais fait appel à nos services mais elle souhaitait profiter de ce départ pour inscrire une première étape dans une politique d’inclusion au sein de son entreprise.

Le chargé de relation entreprise du Cap Emploi, après un rendez-vous approfondi pour prendre connaissance de l’environnement de travail et du besoin a procédé à la recherche de candidatures, en lien avec l’agence locale Pole Emploi. Cinq candidatures ont été sélectionnées et proposées à la dirigeante. Après une série d’entretiens, une candidate a été identifiée.

Une période de mise en situation en milieu professionnel d’une semaine a été proposée, afin de s’assurer pour les deux parties de l’adéquation avec le poste proposé. Cette immersion s’est avérée concluante, avec la proposition d’un contrat en CDI. La candidate présente un handicap moteur (problèmes dorsaux lombaires), avec un besoin d’aménagement technique du poste de travail. Le service maintien de Cap Emploi a rapidement été mobilisé pour l’aménagement du poste et la demande de financement Agefiph. En parallèle, une aide financière à l’embauche a été montée.

Quelques semaines plus tard, un nouveau rendez-vous s’est tenu pour un bilan en fin de période d’essai et pour s’assurer que les moyens de compensation mis en place étaient efficaces. La gérante a ainsi pu pourvoir rapidement son besoin en recrutement et a bénéficié d’un accompagnement personnalisé pour favoriser l’intégration de la candidate retenue.

Pour échanger avec un conseiller, rendez-vous sur Place des Entreprises !

Pour en savoir plus : https://www.capemploi-59lille.com

Pour en savoir plus :

L’accompagnement des entreprises par la Banque de France

Françoise Wheatley, Animatrice des Accompagnements et Services des Acteurs Économiques Banque de France

« Chaque correspondant TPE-PME est à l’écoute du dirigeant, élabore un diagnostic rapide de la situation et oriente l’entrepreneur.

Lors de la crise sanitaire, la Banque de France a ainsi pu répondre et accompagner plus de 30 000 entrepreneurs ».

Quelles sont les missions de la Banque de France pour les entreprises de toute taille ?

« La relation entreprise – Banque de France, c’est tout d’abord la cotation, intégrée au Fichier Bancaire des Entreprises (FIBEN), regroupant 267 000 entreprises cotées. L’analyse financière est ainsi au cœur de la mission « Entreprises » de la Banque de France, un atout majeur à la disposition des entrepreneurs.

D’autres missions se sont positionnées afin de ne pas laisser seul le chef d’entreprise face à ses questionnements. L’accompagnement des entreprises regroupe aujourd’hui différentes missions :

  • les activités d’analyse financière dont OPALE, diagnostic en ligne sur le site de www.banque-france.fr
  • la Médiation du Crédit pour faciliter les relations difficiles entre l’entreprise et sa ou ses banques
  • l’Éducation Financière qui permet d’acquérir une meilleure connaissance des notions de gestion et d’analyse financière
  • l’accompagnement des TPE-PME par des correspondants dédiés, créé en 2016
  • l’accompagnement des starts-up, via un correspondant régional, créé en 2019 ».

Comment fonctionne l’accompagnement des TPE-PME par la Banque de France ?

« Les correspondants TPE-PME, présents dans chaque département, accompagnent les entrepreneurs durant toutes les étapes de la vie de leur entreprise, de la création à la transmission, mais aussi dans la gestion, le développement et le traitement des difficultés, en particulier financières.

Ce service personnalisé, totalement gratuit, est accessible à toute entreprise et reste confidentiel. L’expertise des correspondants TPE-PME est complétée par un solide réseau à la disposition des entrepreneurs. La Banque de France a en effet signé 40 conventions avec des structures accompagnantes du monde de l’entreprise.

Chaque correspondant est à l’écoute du dirigeant, élabore un diagnostic rapide de la situation et oriente l’entrepreneur vers les interlocuteurs identifiés répondant ainsi à ses interrogations. Cette mission se synthétise ainsi autour de plusieurs concepts : accueil, écoute, analyse, identification des meilleures solutions, orientation (médiation du crédit, organismes de financement ou de cautionnement, association pour un micro-crédit, réseau Apesa pour un soutien psychologique en cas de souffrance…) ».

Exemple d’une entreprise accompagnée :

« Une entreprise de 14 salariés, créée en 2009, dont le domaine d’activité est le commerce de matériels professionnels agro-alimentaires, a été accompagnée dans le cadre de difficultés financières lors de la crise sanitaire. L’activité de l’entreprise s’est arrêtée brutalement suite aux fermetures des établissements d’hôtellerie-Restauration, imposés par les confinements successifs.

Nous avons pu analyser la situation avec le dirigeant afin d’identifier les solutions pertinentes. Nous l’avons orienté vers les subventions octroyées dans le cadre du fond de solidarité, ainsi que vers la mise en place des mesures de chômage partiel. Un contact a été pris avec Bpifrance dans le cadre d’un prêt (prêt Atout), complété par un accompagnement bancaire ».

Le service public Place des Entreprises vous met en relation avec le correspondant TPE-PME de votre département et permet une coordination avec d’autres partenaires (Bpifrance, CCI ou CMA, DDFIP, Région, Urssaf…). 

Pour déposer une demande, rendez-vous sur Place des Entreprises.

En savoir plus : https://entreprises.banque-france.fr/c-tpme

La conseillère départementale à la sortie de crise

Mme Marine-Line Manscour, conseillère départementale à la sortie de crise, inspectrice des finances publiques et secrétaire du CODEFI.

« La crise sanitaire qui nous  touche depuis Mars 2020 a entraîné une très forte mobilisation de l’État et de ses services afin de soutenir les entreprises fragilisées. Cela s’est traduit par un soutien financier exceptionnel grâce à différents leviers.

La crise a inégalement touché les différents secteurs d’activité. Pour prévenir ces difficultés, l’État a mis en place avec l’ensemble des « partenaires de l’entreprise » un plan d’action national.

Ce dernier se décline au niveau départemental avec la création d’un conseiller départemental à la sortie de crise qui est le secrétaire permanent de la Commission des Chefs des Services Financiers (CCSF) et du Comité Départemental de Financement des Entreprises (CODEFI) ».

Dans quel cas un chef d’entreprise peut-il se tourner vers le conseiller départemental à la sortie de crise ?

« Le conseiller départemental à la sortie de crise a pour objectif de proposer une solution adaptée à chaque entreprise qui le sollicite. Schématiquement, aucune entreprise ne doit rester sur le « bord de la route ».

A ce titre, toute entreprise, quelle que soit sa difficulté, peut se tourner vers le conseiller départemental à la sortie de crise qui l’orientera après étude de son dossier vers le dispositif idoine. ll est facilement joignable et se doit être à l’écoute des chefs d’entreprise qui ont une forte attente vis à vis des pouvoirs publics et des instances économiques en cette période particulièrement difficile pour eux ».

Comment le conseiller départemental à la sortie de crise accompagne concrètement l’entreprise ?

Le conseilleur départemental peut être pro-actif et solliciter directement une entreprise fragilisée pour lui proposer un accompagnement personnalisé. Outre le suivi des dossiers localement, son action repose sur le concept de l’analyse prédictive permettant de détecter de manière anticipée les fragilités financières des entreprises.

Après contact par mail ou suite à entretien téléphonique avec le dirigeant, le conseiller propose une ou des solutions en fonction de la situation de l’entreprise. Les dispositifs mobilisables d’avant crise demeurent d’actualité. Ce sont principalement :

  • les audits structurels et/ou financiers ;
  • les prêts de fonds de développement économique et social (FDES) proposés dans le cadre du CODEFI ;
  • un apurement des dettes fiscales et sociales sollicité dans le cadre de la CCSF.

 La gestion de la crise a fait naître d’autres leviers, en vigueur jusqu’au 31 décembre 2021 :

  • les prêts garantis par l’État (PGE)
  • les prêts exceptionnels petites entreprises (PEPE) de moins de 50 salariés
  • des avances remboursables (AR) et prêts bonifiés (PB) pour les PME et entreprise de taille intermédiaire.

Des dispositifs à vocation judiciaire peuvent également être proposés :

  • la nomination d’un mandataire ad hoc de sortie de crise dans le cadre d’une intervention plus précoce ;
  • la création d’une procédure collective simplifiée pour les petites entreprises.

Exemple d’une entreprise accompagnée :

« Une société de 10 salariés, créée en 2014, dont le domaine d’activité est le transport maritime international a été accompagnée dans le cadre de la sortie de crise. Son activité principale reposait sur la la liaison inter-iles entre la Martinique et une île voisine de la Caraïbe. Les restrictions générées par les confinements successifs instaurés au plan local ont conduits à la cessation de l’activité pour fermeture administrative. Cependant, l’entreprise était en attente de la livraison d’un navire pour lequel elle devait payer l’octroi de mer .

Afin de combler l’insuffisance de trésorerie obtenue lors de la mise en place de son PGE, elle a obtenu :

  • un prêt « rebond » de la Collectivité Territoriale de la Martinique avec la Banque publique d’investissement (Bpifrance)
  • une subvention de la Collectivité territoriale de la Martinique
  • les aides mensuelles du Fonds de Solidarité
  • l’aide liée à l’activité partielle de son personnel ».

Le conseiller départemental à la sortie de crise est en lien étroit avec les différents partenaires pouvant intervenir dans le cadre de difficultés financières. Le service public Place des Entreprises vous met en relation avec le conseiller départemental et permet une coordination de premier niveau entre partenaires (Banque de France, CCI ou CMA, Région, Urssaf…).

Pour déposer une demande, rendez-vous sur Place des Entreprises.

En savoir plus : https://www.economie.gouv.fr/mission-accompagnement-entreprises-sortie-crise

Le service d’accompagnement fiscal pour les petites et moyennes entreprises

Patricia Sellière, chargée de mission relation de confiance à la DGFiP.

« Face à une législation complexe, un chef d’entreprise n’a pas toujours le temps et les ressources internes pour chercher des réponses aux questions fiscales qu’il se pose, dans le cadre d’un projet d’investissement ou simplement pour s’assurer que ses opérations économiques sont correctement traitées au regard des règles fiscales.

L’objectif de l’accompagnement fiscal des PME est d’apporter de la sécurité juridique aux chefs d’entreprise en les déchargeant des risques fiscaux associés à leurs activités, afin qu’ils puissent se consacrer pleinement au développement de leur entreprise ».

Dans quels cas un chef d’entreprise peut-il se tourner vers le service d’accompagnement fiscal ?

« Ce service est proposé par la Direction générale des finances publiques (DGFiP) et s’adresse aux chefs d’entreprise qui souhaitent éviter les erreurs dans l’application de la loi et les risques financiers qui pourraient en découler en cas de contrôle fiscal.

Les entreprises peuvent solliciter ce nouveau service lorsqu’elles sont :

  • sur des opérations représentant pour elles des enjeux stratégiques ou financiers : l’analyse du droit fiscal applicable et des différentes options qui se présentent permet d’accompagner le chef d’entreprise dans ses projets économiques et d’éclairer ses choix pour l’entreprise ; 
  • à une étape clé de leur développement économique : la conquête de nouveaux marchés, le rachat d’une activité, l’implantation à l’étranger, l’investissement dans la recherche… impliquent des conséquences fiscales qui peuvent être sécurisées, notamment en ce qui concerne les régimes dérogatoires ou les différents allègements fiscaux (amortissements exceptionnels, CIR, CII, JEI, dispositifs ZFU…) dont l’entreprise peut bénéficier ;
  • en phase de restructuration : le désengagement d’une activité, la définition d’un prix de cession, la méthode de valorisation d’actifs, la déductibilité d’une provision, l’application d’un taux réduit de TVA… sont autant d’opérations à risque fiscal pouvant faire l’objet d’une sécurisation en amont ;
  • à la recherche d’informations fiscales : il s’agit ici d’expliciter de nouvelles règles ou d’éclairer un chef d’entreprise sur la manière dont l’administration fiscale applique tel ou tel texte ».

Comment fonctionne l’accompagnement fiscal ? 

« Le service d’accompagnement fiscal est un service gratuit et confidentiel. Il est totalement distinct du contrôle fiscal.

Dans chaque région, une équipe de fiscalistes a été mise en place pour répondre aux besoins des entreprises. Tous les impôts des professionnels peuvent faire l’objet de questions, que ce soit l’impôt sur les bénéfices, la TVA ou encore les impôts locaux. 

Pour chaque question, un interlocuteur référent prend contact avec le chef d’entreprise pour échanger sur sa problématique fiscale et l’accompagner. Une réponse écrite est également transmise dans les meilleurs délais. La préconisation qui est délivrée à l’entreprise a valeur de rescrit. Cela signifie que cette réponse est opposable à l’administration : si vous appliquez la solution donnée, vous ne pouvez faire l’objet d’aucun redressement fiscal sur la question posée dès lors que les faits ont été correctement présentés ».

Exemples d’entreprises accompagnées : 

En Ile-de-France, le service d’accompagnement fiscal de Cédric Saint-Antoine a par exemple aidé une petite entreprise de formation aux langues étrangères en ligne à déterminer le taux de TVA applicable selon le type et la localisation de ses clients. Ce taux était très important pour elle car ses tarifs sont affichés TTC sur son site internet.

L’équipe a également aidé une start-up en forte croissance à mettre en place un plan de bons de souscription de parts de créateur d’entreprise (BSPCE). Ces bons permettent aux salariés et aux dirigeants d’acheter des actions de la société, à un prix fixé lors de leur attribution, pendant une période déterminée. Le gain réalisé entre la date d’attribution et la date de cession relève d’un régime fiscal spécifique. Ce plan vise ainsi à encourager les salariés et les dirigeants à s’investir dans le développement de leur entreprise.

Pour déposer une demande, rendez-vous sur Place des Entreprises !


Pour en savoir plus : https://www.impots.gouv.fr